Au Relais de l’Oust A Jocelyne et
Serge BRILLAND
Tel un éden, dans la nature,
Ce Relais
semble être à l’arrêt,
Dans un jardin, fluide et pur,
Que
l’Oust baigne de son jet.
Il est en ce lieu, gentes dames,
Qui d’antan courraient cet écrin,
Parmi les étangs, de leur âme,
Jusqu’au château de Josselin.
Si vous passez dans ces ramures,
Où les oiseaux comme orphéon,
Chantent en ce gîte des mesures,
Qui ont un cœur de chants Bretons,
Buvez la paix qui de ma verve,
M'a fait déclamer
ces sonnets,
En cette auberge, tout comme un rêve,
Et dont mes mots
sont le reflet.
Jean-François ZAPATA
Le 7 avril 2013